Que faire en entrée avant une côte de boeuf

Quoi de plus convivial qu’une côte de boeuf dégustée entre amis ? Vous pouvez retrouver dans nos rayons la côte de boeuf des viandes de Chateauneuf. Des boeufs issus d’un élevage raisonné, nourris sans OGM, ni antibiotique.

Une côte de boeuf est délicieuse cuite au barbecue. Sauf que l’hiver on n’a pas forcément envie d’installer un barbecue dans le froid. On se tourne alors vers une cuisson au four qui permet d’obtenir une viande tout aussi savoureuse !

Ingrédients

1 belle côte de boeuf

Huile d’olive

Sel, Poivre

 

Préparation

Penser à sortir la viande au moins une demie heure avant la cuisson afin qu’elle soit à température ambiante.

Huiler la côte de boeuf des deux côtés de manière homogène à l’aide d’un pinceau.

Préchauffer le four à 200°c, sur le mode Grill. Enfourner la pièce de viande sur la grille du four et la faire cuire 12 minutes. Penser à la retourner toutes les 3 minutes.

Une fois cuite, sortir la côte de boeuf du four et la faire reposer sur un plat 10 minutes avant la dégustation. Assaisonner à votre convenance.

Pour l’assaisonner, découvrez ci-dessous nos trois recettes de sauces.

Sauce vigneronne

Ingrédients

Préparation

Faire revenir les échalotes dans environ 15g de beurre, pendant 5 minutes, jusqu’à ce qu’elles soient translucides.

Ajouter le sucre, et le vin rouge et laissez cuire pendant environ 30 minutes, jusqu’à ce que la sauce réduise et devienne sirupeuse. Ajouter ensuite le fond de veau et laisser cuire encore 5 minutes.

Hors du feu, ajouter le beurre restant ainsi que le poivre et le sel si nécessaire.

Sauce chimichurri

Ingrédients

2 cuillère à café d’origan

2 têtes d’oignons cébette (sans le vert)

1 c à c. de piment fort en poudre

1 cuillère à soupe de vinaigre

Préparation

Ciseler finement le bouquet de persil. Emincer finement l’oignon cébette et l’ail. Dans un bol ajouter, le persil, l’oignon, l’ail, l’origan et le piment. Ajouter l’huile d’olive, le jus de citron et le vinaigre. Bien mélanger.

La sauce chimichurri se conserve quelques jours au réfrigérateur.

Sauce aux 3 poivres

Ingrédients

2 cuillère à café de fond de veau

Préparation

Dans une casserole, faire revenir l’échalote ciselée finement dans le beurre. Faire cuire 5 minutes jusqu’à ce que l’échalote soit translucide. Ajouter le fond de veau dilué dans un peu d’eau ainsi que les 3 poivres concassés. Remuer et ajouter la crème. Faire cuire à feu doux jusqu’à ce que la sauce s’épaississe.

On ne le répétera jamais assez, prévoir est le meilleur moyen d’assurer dès l’entrée. Non pour la qualité, mais pour votre tranquillité ! Tout ce qui est fait n’est plus à faire, or ce qui n’est plus à faire allège grandement les responsabilités d’un dîner à la maison. Vous avez cuisiné et congelé vos pâtes feuilletées à l’avance ? Vous venez de gagner deux heures sur la préparation de vos tartes le jour de Noël… et d’éviter un certain nombre de sueurs froides !  

Dès votre menu arrêté, choisissez soigneusement votre recette. Évitez les préparations à cuisiner intégralement à la dernière minute : en plus du stress ajouté, vous ne profiteriez ni de l’apéritif, ni de vos invités. Ou pire, ceux-ci débarqueraient dans la cuisine ! Préférez une recette dont seul le dressage est de dernière minute, voire la cuisson. Évitez également les recettes trop compliquées. Ou répétez-les à l’avance…

Faites vos courses la veille, ou même plus tôt pour les produits longue durée. Passez vos commandes à l’avance chez le boucher ou le poissonnier, et n’hésitez pas à leur demander de nettoyer le poisson, de lever les filets, de délarder la viande ou de la préparer. Puis faites tout ce qui peut être fait à l’avance, quitte à congeler légumes épluchés et oignons émincés…

Enfin, dressez votre table plusieurs jours avant Noël pour éviter les mauvaises surprises. Vous pourrez ainsi changer d’avis et aller chercher les idées qui vous manquent !

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Que faire en entrée avant une côte de boeuf

2/10

Je prévois la bonne dose

Vous avez tout préparé, les invités se sont régalés… à tel point que lorsqu’arrive le plat, les estomacs sont pleins et les assiettes à peine touchées. Rassurez-vous, la question est universelle et la solution bien terre à terre : pour éviter le trop-plein ou le trop peu, on pèse ! Une entrée, comme une salade, doit approcher des 250 g par invité au total, une fois cuisinée. Pas plus, ou vous risquez de gaver la tablée avant même la dinde de Noël…

Attention, cependant, la dose est générique. Certaines entrées, spécialistes du repas de Noël, demandent à être repensées : le foie gras ou le saumon fumé, notamment. La raison ? Le foie gras peut vite devenir difficile à digérer, le salé du saumon fumé le rend rapidement écœurant. Pour le premier, comptez 70 g par invité, pour le second, 100 g environ. Et si les assiettes vous semblent vides, accompagnez d’une salade ou présentez en verrine pour plus d’effet !

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3/10

Je choisis une entrée sur-mesure

Si l’entrée doit envoyer les festivités, pas question de gâcher la suite du repas avec des recettes de Noël, certes, mais mal accordées ! Considérez votre repas comme un ensemble qui doit aller crescendo : les saveurs les plus douces et la dose la plus légère en entrée. Vous cherchez à ouvrir l’appétit, pas à saturer les papilles…

Concrètement ? Gare aux doublons ! Si vous avez prévu une viande en plat, évitez le carpaccio de bœuf en entrée. A l’inverse, évitez les huitres avant le risotto de fruits de mer. Mieux vaut grignoter un peu de tout que trop d’un seul.

Le principe vaut également pour le vin : pas question de servir un grand cru dès l’entrée, sous peine de noyer les saveurs et d’amoindrir le parfum des suivants ! Accompagnez vos entrées de Noël d’un vin blanc ou rosé, doux et léger, avant de passer aux rouges sur le plat suivant. Fuyez également les vins trop sucrés en entrée, qui déborderaient les papilles de vos invités et ruineraient toute la patience avec laquelle vous avez cuisiné !

Enfin, accordez votre menu à vos invités… Si vous accueillez des végétariens, des intolérants au gluten ou au lactose, mieux vaut le savoir avant la veillée pour prévoir un plan B.

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4/10

Je souffle le chaud et le froid

Le secret d’une entrée de Noël qui fait de l’effet ? Foncez sur les contrastes et déclinez chaud et froid, ou sucré et salé ! Puisque Noël se répète année après année, autant en profiter pour surprendre vos invités. Et pour ce faire, rien de meilleur qu’un plat qui dit oui et son contraire ! Une astuce sans aucun risque de rejet, lorsqu’elle est déclinée sans excès.

Le chaud froid, comment le cuisiner ? Le plus simple tient dans une entrée si classique qu’elle en est mythique : une terrine de poisson bien fraîche, servie avec une sauce chaude et onctueuse. Le seul hic ? Vous risquez de devoir rationner les invités pour leur éviter de se gaver… Un concept décliné avec succès par les salades, riches de feuilles et crudités froides avec une viande ou un poisson tout juste poêlé.

Quant au sucré salé, le pari est plus risqué, mais la réussite à la hauteur ! Et les recettes sont nombreuses à en tirer parti, le foie gras en favori. Le chouchou de Noël se mêle avec bonheur aux confitures sucrées, se décline à la pomme ou à la poire et se marie sans mal avec le pain d’épices ou la brioche. 

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5/10

Je travaille la mini dose

Le but ? Éviter que les invités n’abusent de l’entrée pour refuser la bûche de Noël le moment venu… sans pour autant leur donner l’impression que vous avez lésiné sur la quantité. Coup de chance, la mini portion est à la mode et les fabricants de vaisselle s’en donnent à cœur joie ! En tête d’entrée, les verrines, désormais spécialistes de l’assiette riquiqui qui a tout d’une grande. Jouez sur l’esthétique, remplissez joliment vos verrines, accompagnez de deux feuilles de salade et le tour est joué !

Dans le contrôle des quantités, les verrines ne sont pas les seules à assurer l’entrée. Une méthode petits efforts pour grands effets ? L’assiette de miniatures ! Servez des bouchées à croquer ou des brochettes, comme vous le feriez pour vos amuse-bouches en apéritif. Mais alignez-les sur une assiette longue ou rangez-les sur une petite assiette en cœur, et l’entrée est bouclée.

Si les miniatures ne vous tentent pas, reste l’option de l’entrée allégée, et à ce jeu-là, Noël n’est pas le dernier. Deux tranches de saumon fumé ou un carpaccio poids plume, une soupe en coupelle ou une salade généreuse en vert, une sauce au fromage blanc ou un feuilleté en pâte filo… et les invités n’y voient que du feu !

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6/10

J’ose les entrées qui se partagent

Le pari est osé, mais ô combien réussi. Pour une ambiance familiale et conviviale, loin du guindé d’un Noël trop parfait, comptez sur des entrées à partager ! Une simple tarte ou quiche, et le geste est enclenché : quelqu’un doit bien couper pour remplir les assiettes tendues. Moins élégant que la part servie par assiette, certes, mais tellement plus sympathique… Même principe pour les soupes ou veloutés, à servir à la louche pour un parfum de tradition sans prétention !

Vous êtes prêt(e) à faire d’un pas de plus ? Si vous cherchez la chaleur plutôt que le service haut de gamme, osez ce que nos cousins américains nomment « potluck » : un repas-partage et des entrées qui se picorent, directement sur la table, entre deux fous rires et souvent avec les doigts. À commencer par le pain à partager, un gros pain rond entaillé en quadrillage, garni de fromage, d’herbes et d’ail… tendez la main, tirez, dévorez ! Une idée à décliner avec un plateau de sushis de crudités à piocher avec des baguettes, ou des boulettes assorties à piquer dans le plat.

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7/10

Je fonce sur le frais et la saison

Noël est une fête d’hiver, et c’est tant mieux. Le résultat ? Flocons de neige, feu de cheminée… mais aussi produits de saison ! On ne fait pas l’impasse sur les spécialistes pour assurer l’entrée, les ingrédients frais et d’actualité font partie de la tradition de Noël. Sans compter que leurs saveurs, on aura beau dire, seront toujours supérieures à celles du surgelé, aussi pratique soit-il !

Il ne s’agit pas de vous mettre la pression pour cuisiner exclusivement les produits du moment. Si vous n’avez pas eu le temps de commander vos fruits de mer, personne ne vous en voudra de peupler votre risotto d’un sachet surgelé… En revanche, si vous optez pour le plateau de fruits de mer, pas de quartier, le frais doit être bien frais !

Quant à cuisiner les produits de saison, votre repas de Noël ne pourra que sortir grandi d’une courge bien rôtie ou d’un velouté de panais, d’une salade d’endives du marché ou d’un foie gras aux poires juteuses… Tentez d’inclure autant que possible les fruits et légumes de saison dans votre menu de Noël, personne ne s’en plaindra !

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8/10

Je soigne la sauce

Les boules brillent dans le sapin, les guirlandes clignotent dans la maison… et la sauce n’en mérite pas moins, en entrée bien arrosée ! Vous avez opté pour une salade ? Soignez la vinaigrette, l’huile d’olive n’a pas le monopole de la trempette. Vinaigrette au thé ou aux agrumes, à la tomate ou à la framboise, aux herbes ou même au bleu… Lâchez-vous sur l’assaisonnement, votre salade laissera des traces, et pas que sur la nappe !

Encore mieux ? Préparez un assortiment de sauces aux saveurs et aux teintes variées dans des coupelles colorées, puis présentez-les sur un plateau posé sur la table. Les invités pourront tester des parfums inédits, découvrir votre entrée sous plusieurs jours et s’amuser à identifier les ingrédients… façon buffet de Noël en table classique, l’esthétique en plus ! Parfait pour tremper des nems ou accompagner des bouchées, arroser des sashimi ou napper un carpaccio.

Et si vous avez choisi un plat chaud, gare aux entrées trop sèches. Mieux vaut souvent une sauce légère que pas de sauce du tout, ne serait-ce qu’une crème mélangée à du fumet en poudre pour arroser une terrine. Au moindre doute sur sa pertinence, servez-la dans une saucière en accompagnement, tous les invités y trouvent leur compte !

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9/10

J’accompagne à volonté

L’entrée est une mise en bouche : pour assurer le repas de Noël, titillez les papilles en saveurs plutôt qu’en quantités… et accompagnez ! Privilégiez des entrées à taille réduite, mais multipliez les surprises dans les assiettes, vous resterez fidèle à l’esprit de Noël. Par exemple ? Plutôt qu’un grand bol de velouté, versez votre soupe en verrine, plantez-y une tuile au parmesan, parsemez de graines et déposez sur une assiette avec une poignée de mâche et un filet de vinaigrette.

Encore plus spectaculaire ? Servez vos salades dans un bol à manger ! Feuilles de bricks et tortilla se prêtent à l’exercice sans broncher, pour des contenants bluffants capables d’accompagner vos entrées jusqu’à la dernière miette. Pour les feuilles de brick, empilez-en 6 à 8 dans des moules à muffin, après les avoir huilées, puis enfournez jusqu’à ce qu’elles soient dorées.

La tortilla est plus solide, une seule suffit à créer un bol de taco : foncez-en, là encore, un moule à muffin ou à gâteau, puis enfournez. Laissez refroidir et servez vos salades ! Pour les bricks comme pour la tortilla, évitez, en revanche, les recettes en sauce trop liquide qui détremperont le contenant, et servez rapidement.

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10/10

Je décore mes entrées

On parle cuisine, on parle recettes, on parle Noël… et le look, dans tout ça ? Pas d’entrée réussie sans costume assorti, l’entrée se doit de bien présenter ! Bonne nouvelle, rien de plus simple aujourd’hui que de booster une recette avec un petit air de fête. Et en première ligne, le contenant fait de l’effet, dorloté comme il est par les fabricants de vaisselle. Plats en forme de sapin ou d’étoiles, sacro-saintes verrines, assiettes cœur ou carrées, à vous de choisir.

Vous n’avez pas d’argent à dépenser, et pas de vaisselle adaptée ? Outre les bols de bricks ou de tacos, poivrons, potimarrons et autres légumes peuvent assurer la présentation une fois vidés. Pensez également à recycler, le style est tendance et la cuisine en regorge : pots de confiture, Mason jars et autre bocaux, voire même les boîtes de conserve dans lesquelles se cuisine le crumble !

La touche finale dépend de la recette, mais le clin d’œil est irrésistible : saupoudrez sans compter en hommage à la neige de Noël… Noix de coco râpée sur une salade sucrée salée, cacahuètes concassées sur un velouté, truffe émincée sur un tartare, chapelure sur les huîtres chaudes, herbes variées sur tous les plats… ou même fleurs comestibles à volonté. Plutôt que de les réserver au cœur de la recette, parsemez-les avant de servir, la magie de Noël s’y cache parfois ! 

Quelle entrée avant une côte de bœuf ?

Entrées et accompagnements.
Fleurs d'oignon au four et trempette au raifort..
Salade de Noël et vinaigrette dijonnaise à l'orange..
Haricots marinés façon César..
Graines de citrouille sucrées épicées..
Rondelles de poireau vinaigrette..
Pommes de terre au beurre et à la ciboulette..

Quelle entrée avant des grillades ?

Entrée barbecue.
Salades pour le barbecue..
Courgettes aux herbes en papillote au barbecue..
Tarte barbecue..
Betterave cuite en papillote sur le barbecue..
Une salade croquante pour accompagner les grillades au barbecue ....
Roulés de porc à la mozzarella ( barbecue ).

Quand sortir une côte de bœuf du frigo ?

30 minutes avant la cuisson, prenez le reflex de sortir votre viande du réfrigérateur. Cela aura deux effets sur la viande. Le premier sera de permettre à la viande de se détendre et ainsi la rendra plus tendre et juteuse.

Quel est le prix moyen d'une côte de bœuf ?

Prix Côte de boeuf individuelle.